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Pourquoi un logiciel Cimetière ?

Avantage d’un logiciel Cimetière

Aujourd’hui, bon nombre de communes n’est pas informatisé pour la gestion des cimetières (logiciel Cimetière). La gestion est faite sur la base d’un plan papier souvent très ancien et via des fiches d’information papier sur les concessions. La recherche et la mise à jour de ces données est donc très fastidieuse ce qui peut impliquer dans certains cas des carences d’information sur le cimetière.

L’informatisation de la gestion des cimetières permet non seulement de fiabiliser les informations recensées mais aussi d’accéder à l’information souhaitée de manière quasi-immédiate. La mémoire des informations du cimetière ne sera plus tributaire d’une personne mais simplement de la bonne sauvegarde des données enregistrées.

Mise en place d’un logiciel Cimetière

La mise en place d’un logiciel Cimetière est simple. Il faut simplement disposer d’un papier qui sera numérisé ainsi que de fiches d’information qui seront retranscrites dans le logiciel. Le logiciel offrira donc un lien entre le plan et les données grâce à son composant cartographique (SIG).

Au sein de la gamme GéoSoft, le logiciel Géo-Cimetière offre aux utilisateurs une gestion simple et efficace de leurs données.

Le Crédit Impôt Recherche – CIR

L’innovation est un processus linéaire au bout duquel se trouve la recherche. De la recherche naît l’invention. L’invention engendre ensuite l’innovation. Enfin, l’innovation se diffuse et conduit à de nouveaux produits et de nouvelles technologies.

Les activités de Recherche & Développement (R&D) ont un caractère stratégique dans notre économie. En mettant au point des produits, procédés ou services technologiquement innovants et présentant des perspectives concrètes de commercialisation, les activités de R&D permettent de créer ou de développer de nouveaux marchés dans un contexte d’intense concurrence. L’innovation, le plus souvent issue de la R&D, est une condition nécessaire du maintien de l’activité sur le long terme.

Ne pouvant capter tous les bénéfices de leur activité de R&D, les entreprises tendent à sous investir par rapport à ce qui est souhaitable du point de vue de la société.

Dès lors un soutien public à cette activité, tendant à abaisser son coût pour les entreprises, apparaît à la fois légitime et potentiellement efficace d’un point de vue économique.

Le gouvernement a donc créé le Crédit Impôt Recherche (CIR), aide fiscale destinée à encourager les efforts des entreprises en matière de Recherche et Développement.

En quoi consiste le Crédit Impôt Recherche (CIR) ?

Mesure fiscale créée en 1983, pérennisée et améliorée par la loi de finances 2004 et à nouveau modifiée par la loi de finances 2008, le crédit d’impôt recherche a pour but de baisser pour les entreprises le coût de leurs opérations de recherche-développement. Il soutient leur effort de R&D afin d’accroître leur compétitivité.

Les entreprises industrielles, commerciales et agricoles soumises à l’impôt sur les sociétés (IS) ou à l’impôt sur le revenu (IR) dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux peuvent bénéficier du CIR.

Le Crédit d’Impôt Recherche consiste en un crédit d’impôt de 30 % des dépenses de R&D.

Une entreprise qui sous-traite de la R&D auprès d’un organisme peut bénéficier du CIR à condition qu’ils soient agréés par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (M.E.S.R).

Les dépenses de R&D confiées à des organismes agréés par le ministère de la Recherche sont éligibles au Crédit d’Impôts Recherche dans la limite de 3 fois le montant total des autres dépenses de recherche ouvrant droit au crédit d’impôt.
Dans ce cas, la limite est de 2 M€ par entreprise et par an, portée à 10 M€ lorsqu’il n’y a pas de lien de dépendance entre l’organisme privé et l’entreprise.

Avantages/ Intérêts du CIR

Les dépenses relatives à des travaux de recherche et développement (R&D) sous-traités à des prestataires extérieurs sont éligibles au crédit d’impôts recherche (CIR).
En faisant appel à AMJ pour des travaux de R&D, le montant facturé des dépenses de R&D éligibles sera pris en compte pour son montant réel dans l’assiette du CIR

L’éligibilité au CIR doit répondre à un certain nombre d’exigences. AMJ peut accompagner le client dans l’élaboration/formalisation du rescrit fiscal (demande d’avis préalable)

vous permet de récupérer jusqu’à 50% de vos dépenses de Recherche et Développement sous la forme de réduction ou de remboursement d’impôts grâce au Crédit Impôt Recherche (CIR).

en faisant appel aux services/prestations d’AMJ sur votre projet de R&D éligible, vous pourrez bénéficier du CIR

Le crédit d’impôt a été créé pour inciter les entreprises à accroître leur dépense de recherche.

Bénéficier du Crédit Impôt Recherche en nous confiant vos projets de recherche et développement !

Vos projets de Recherche & Développement, comme la conception d’un nouveau produit ou d’un nouveau logiciel (en mode ASP notamment) peuvent donner droit à une réduction d’impôt ou au remboursement des frais engagés, jusqu’à 50 % des dépenses réalisées. Le remboursement du Crédit Impôts Recherche (CIR) peut d’ailleurs intervenir quelques mois après que les dépenses aient été engagées.

Le Crédit Impôts Recherche (CIR) est à déclarer après chaque clôture d’exercice fiscal. Il peut être renouvelé chaque année à condition de réunir les critères d’éligibilité en vigueur.

AMJ possède l’agrément au titre du Crédit Impôt Recherche délivré par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

Confiez-nous votre projet de R&D pour notre savoir-faire et notre expérience et bénéficiez en plus d’une réduction d’impôts !

Les dépenses relatives à des travaux de recherche et développement (R&D) sous-traités à des prestataires extérieurs sont éligibles au Crédit Impôts Recherche (CIR).
En faisant appel à AMJ pour des travaux de R&D, vous bénéficierez d’un crédit d’impôts Recherche de 30% sur le montant de la prestation.

L’éligibilité au CIR doit répondre à un certain nombre d’exigences. AMJ peut vous accompagner dans l’élaboration du rescrit fiscal (demande d’avis préalable).

Méthodes agiles : les clefs du succès

Sommaire

  1. Méthodes agiles : les enjeux
  2. Méthodes agiles : la démarche
  3. Méthodes agiles : techniques de mise en œuvre
  4. Méthodes agiles : les principales méthodes agiles
  5. Méthodes agiles : les clefs du succès

Méthodes agiles : les clefs du succès

Voici une présentation synthétiques des clefs du succès des méthodes agiles.

Les méthodes agiles ont démontré à travers de nombreux exemples qu’elles offrent un cadre plus adapté à la réalisation réussie de projets informatiques. Elles doivent donc être appliquées à chaque fois que cela est possible.

De multiples facteurs contextuels peuvent être pris en considération pour valider ou invalider la possibilité d’application d’une méthode agile. Les principaux critères d’éligibilité pourraient être les suivants :

  • Besoin rapide de mise à disposition du produit
  • Imprévisibilité des besoins du client
  • Nécessité de changements fréquents
  • Besoin de visibilité du client sur l’avancement des développements
  • Présence de l’utilisateur assurant un feedback immédiat

A l’inverse, il faut savoir détecter les conditions qui peuvent rendre difficile la mise en œuvre d’une méthode agile :

  • Indisponibilité du client ou de l’utilisateur
  • Dispersion géographique des ressources humaines
  • Inertie des acteurs du projet ou refus des changements

Dans ces conditions, les méthodes traditionnelles pourront (peut-être) être une solution plus adaptée.

Méthodes agiles : les principales méthodes agiles

Sommaire

  1. Méthodes agiles : les enjeux
  2. Méthodes agiles : la démarche
  3. Méthodes agiles : techniques de mise en œuvre
  4. Méthodes agiles : les principales méthodes agiles
  5. Méthodes agiles : les clefs du succès

Les principales méthodes Agiles

On parle quelquefois de méthode agile (au singulier) ou de méthodes agiles (au pluriel). Si le premier terme désigne le concept qui a été décrit ci-dessus, il existe des déclinaisons en termes de plan de mise en œuvre, de vocabulaire et de préconisation. Ce sont les méthodes agiles (au pluriel) dont voici les principales méthodes agiles :

Scrum

Scrum (qui signifie mêlée au rugby) est aujourd’hui la méthode agile la plus populaire. Elle se caractérise par itérations (appelées sprints) assez courts (maximum 1 mois) et un formalisme réduit : rôles (Product Owner, ScrumMaster, équipe), timeboxes (planification de release, planification de sprint, scrum quotidien, revue de sprint, introspection) et artéfacts (backlog de produit, plan de produit, plan de sprint, burdown/burnup de release, burdown/burnup de sprint)

EXtreme Programming (XP)

L’objectif principal de cette méthode est de réduire les coûts du changement. Elle met l’accent sur la revue de code (faite en permanence par un binôme), sur les tests (ils sont faits systématiquement avant chaque développement), la conception continue (refactoring), la simplicité, la traduction des besoins en métaphores.

XP est souvent pratiqué conjointement avec Scrum.

Rational Unified Process (RUP)

Cette méthode qui peut être considérée comme la moins agile des méthodes présentées ici, est un mélange des pratiques issues des méthodes traditionnelles et des méthodes agiles. Le principe est de parcourir un cycle de vie (inspection, élaboration, construction, transition) durant une itération. Chaque phase du cycle de vie est très précisément détaillée.

Son approche assez lourde et le coût d’investissement de cette méthode la réserve à des projets de grande ou moyenne taille.

Feature Driven Development (FDD)

Moins connue que les 2 méthodes précédentes, FDD est essentiellement axé sur le design et le développement. Pour cela elle s’appuie sur une formalisation du modèle objet à l’aide de diagrammes UML, un découpage par fonctions qui seront développées par des petites équipes responsables d’une ou deux fonctions. Elle accorde un aspect très important à la qualité du produit fini, et s’aide d’outils pour suivre le déroulement du projet.

Rapid Application Development (RAD)

C’est la méthode agile la plus ancienne et celle qui a été la première à être en rupture avec les méthodes traditionnelles. Elle a introduit les notions d’itération et d’incrément. Elle vise à adopter la solution la plus stratégique (en termes de délais), la moins risquée, la plus fiable et la moins coûteuse. Son cycle de développement est simple : cadrage, design, construction et finalisation dans le respect absolu d’une durée comprise entre 90 et 120 jours.

Dynamic systems development method (DSDM)

DSDM est méthode agile développée en Angleterre au milieu des années 90. Elle reprend les principes déjà vus dans les autres méthodes (implication des utilisateurs, autonomie de l’équipe, visibilité et adéquation du résultat, développement itératif et incrémental, réversibilité des modifications, tests continus, coopération des acteurs).

Elle est aujourd’hui moins utilisée que les méthodes précédemment décrites.

Voir aussi l’article expliquant la démarche agile.

Méthodes agiles : techniques de mise en œuvre

Sommaire

  1. Méthodes agiles : les enjeux
  2. Méthodes agiles : la démarche
  3. Méthodes agiles : techniques de mise en œuvre
  4. Méthodes agiles : les principales méthodes agiles
  5. Méthodes agiles : les clefs du succès

Pour atteindre les objectifs, les méthodes agiles partagent pour la plupart un ensemble de techniques de mise en œuvre dont voici un aperçu ci-dessous.

Fonctionnement par itérations

Pour intégrer les changements qui peuvent survenir, pour obtenir un retour de la part des utilisateurs ou du client et pour vérifier le bon fonctionnement des modules développés, les méthodes agiles fonctionnent par itérations.

Une itération est un cycle court ou très court durant lequel une partie de l’application doit être développée. Elle doit aboutir à la fourniture d’un livrable applicatif qui permet de constater les travaux réalisés.

Une itération permet également de procéder à des ajustements suite aux retours des précédentes itérations, et d’intégrer des nouveautés pouvant survenir au cours du projet.

Processus incrémental

Chaque itération est bâti selon un processus incrémental qui permet d’enrichir l’application en lui ajoutant des nouvelles fonctionnalités, en affinant les scénarios de tests, et en vérifiant sa bonne intégration dans l’environnement cible.

Un incrément est donc le résultat de la production d’un sous-ensemble de fonctions répondant aux exigences fixées au démarrage de l’itération.

Collaboratif

L’une des particularités des méthodes agiles est de considérer le groupe projet comme une équipe plus qu’une somme de personnes. Les notions de rôles et de hiérarchie sont réduites à leur strict minimum et c’est l’esprit de groupe qui est favorisé. Ce groupe doit partager un but commun : celui de réussir le projet dans l’intérêt de tous.

Ainsi si les notions de MOA, MOE, utilisateur et équipe développement existent toujours, elles travaillent ensemble et de préférence sur un même site.

La composante essentielle de cet aspect collaboratif est la confiance accordée à chaque membre de l’équipe. Les apports de chacun doivent avoir comme unique objectif celui de faire progresser le projet.

Prototypage

L’approche itérative et incrémentale favorise la réalisation d’essais, aussi appelés prototypes, qui permettent de valider une solution ou une approche (en terme d’interface utilisateur) avant son intégration dans l’application.

En effet, la recherche de l’excellence technique pousse à tester des solutions innovantes qui vont répondre aux besoins des utilisateurs.

Pour autant, elles ne pourront être acceptées que si elles ne présentent aucun risque et si leur mise en œuvre ne conduit pas à la réalisation d’une « usine à gaz » (recherche de la simplicité).

Processus d’intégration continue

L’intégration continue est un processus qui vise à intégrer au plus tôt tous les développements réalisés dans la version en cours afin de vérifier sa bonne intégration.

Ainsi, dès qu’une fonction est jugée « finie » (c’est-à-dire développée et testée), elle est mise à disposition dans la version courante.

Ce processus d’intégration continue contient également toute une mécanique visant à tester la version dans son ensemble, et ce de manière automatique et à chaque nouvelle intégration. Les tests doivent donc être automatisée et reproductibles. Ils sont donc définis et développés conjointement aux modules de code.

L’intégration continue est généralement réalisée à l’aide d’outils permettant l’intégration du code, sa compilation automatique pour génération d’une version, et le lancement de tous les tests déjà définis sur la nouvelle version produite. L’automatisation du lancement des tests permet de vérifier le bon fonctionnement de l’application dans l’intégralité de sa version actuelle et l’absence de régressions.

Culture différente

Les méthodes agiles demandent à ceux qui les adoptent de changer leur approche et d’oublier certaines des habitudes acquises avec les méthodes précédentes (accepter le changement, privilégier l’application à la documentation, raisonner uniquement dans l’intérêt du projet, préférer le bon sens aux règles et usages).

Ce changement de culture n’est pas simple à accepter car il entraîne une modification de la position de chaque acteur, une perte de repères et donc une certaine insécurité.

L’adoption d’une méthode agile doit donc être un acte volontaire, accepté dans un état d’esprit positif. C’est l’une des clefs de la réussite du projet qui est à réaliser.

Gestion des dossiers d’urbanisme : Excel ou logiciel d’urbanisme spécifique ?

Contexte

A l’heure de la décentralisation de l’instruction des dossiers d’urbanisme, de nombreuses collectivités locales sont confrontées à cette prise de compétence pour tout ou partie des dossiers. Certaines ont repris l’instruction de tous les dossiers et d’autres seulement des certificats d’urbanisme (CU).

Enjeux

L’urbanisme et l’aménagement du territoire sont des thématiques sensibles au sein d’une collectivité. La bonne gestion des dossiers d’urbanisme est donc une préoccupation quotidienne des élus communaux.

Quelles sont les outils et moyens pour assurer efficacement cette mission ?

Démarche

L’informatisation de la gestion des dossiers d’urbanisme est incontournable mais faut-il pour autant faire l’acquisition d’un logiciel spécifique ?

Pour les communes ayant la compétence d’instruction complète sur tous les dossiers, la mise en place d’un logiciel spécifique paraît évidente. En revanche, certaines communes de petite taille s’interrogent sur la pertinence de cette acquisition.

Sur la base de plus de 10 années d’expérience de mise en oeuvre de logiciel d’urbanisme sur toute la France, nous estimons qu’il est pertinent d’opter pour un logiciel métier quand la commune doit gérer plus de 50 dossiers par an avec ou sans instruction complète.

En effet, même une commune qui aura simplement en charge le suivi d’une cinquantaine de dossiers sera plus efficace et fiable avec les possibilités logicielles suivantes :

  • recherches multicritères de dossier
  • géolocalisation de dossier
  • historique des dossiers déposés lors de la consultation d’une parcelle
  • Tableaux de synthèse dont registre de dépôt
  • Statistiques

Conclusion

Un logiciel tel que Géo-ADS peut être pertinent même pour les collectivités de petite taille d’autant que son budget de mise en oeuvre est très accessible.

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