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GeoADS : Logiciel SIG de gestion des dossiers d’urbanisme

Gestion des demandes de dossiers d’urbanisme

GeoADS permet à l’utilisateur de gérer les demandes de dossiers d’urbanisme :

  • Certificats d’urbanismeDossier-seul
  • Déclaration préalable
  • Permis d’aménager
  • Permis de construire
  • Permis de démolir
  • DIA
  • Autorisations de Travaux

Instruction des dossiers d’urbanisme

GeoADS s’adresse aux communes faisant l’instruction complète des dossiers mais aussi à celles faisant une instruction que de certains dossiers. Vous pouvez ainsi gérer les étapes suivantes :

  • dépôt des dossiers

Logiciel cadastre : Pourquoi payer un logiciel alors qu’il existe des solutions gratuites ?

Un élu communal souhaite exploiter un logiciel pour la gestion du cadastre. Il se pose donc la question s’il est utile de payer un logiciel alors que des solutions gratuites sont mises à disposition par l’état.

Les demandes d’information cadastrale émanant des administrés ou des questions internes communales sont quotidiennes. L’accès à l’information cadastrale doit être simple et efficace.

La gestion du cadastre est le socle de l’aménagement du territoire communale. Tout projet d’aménagement fait référence au plan cadastral.

Doit-on pour cela payer un logiciel spécifique ?

Les solutions mises à disposition par l’état ont l’intérêt d’être gratuites avec des données à jour mais la gestion va être limitée par rapport à un logiciel spécifique qui offre les possibilités suivantes :

  • Lien dynamique entre le plan cadastral et les données de la matrice cadastrale
  • Intégration de plans complémentaires tels que POS/PLU ou réseaux. Les informations littérales sur la parcelle sont alors enrichies avec la zone d’urbanisme concernée par la parcelle et les périmètres qui impactent la parcelle (servitudes, réservations, risques, …)
  • Création d’autres plans superposés au plan cadastral. Je décide par exemple de représenter sur le cadastre mes emplacements de tri sélectif.
  • Requêtes multicritères : Par exemple, lister les parcelles constructibles non bâties supérieures à 1000 m2.

Il est donc préconisé d’opter pour un logiciel cadastre spécifique dont l’investissement est aujourd’hui limité et tout à fait abordable pour les collectivités locales même les plus petites.

Réussir une reprise de données

La reprise de données

La reprise de données constitue une des étapes les plus délicates au sein d’un projet d’implémentation d’un logiciel de gestion. En effet, elle doit souvent être réalisée très rapidement juste avant le démarrage d’un projet. De plus, elle est susceptible de reporter ce démarrage, en cas de problèmes bloquants, ce qui entraîne des coûts supplémentaires.

Or, il arrive très souvent que cette phase pose des problèmes, soit :

  • bloquants, du fait de données impossibles à reprendre,
  • consommateurs de charges supplémentaires non prévues (chez le prestataire en charge de la reprise et chez l’entreprise elle-même), en raison de la complexité de la reprise de données, qui a été identifiée trop tard par les acteurs en charge de cette dernière.

Ces problèmes sont principalement dus à l’analyse, qui n’est pas toujours réalisée de façon exhaustive. En effet, il est nécessaire lors de cette phase de mettre en parallèle tous les champs de données du logiciel source avec les mêmes champs au sein du logiciel de destination. Bien entendu, cela nécessite au préalable d’avoir identifié ces champs au sein du nouveau logiciel, soit via l’utilisation de champs existants, soit via la création de nouveaux champs. Or, pour cela, la compréhension du mode de fonctionnement du logiciel source est indispensable.

Jeux de tests

A partir du moment où cette analyse a été réalisée, il s’agit de réaliser en premier lieu un test avec un volume de données peu important (par exemple, 10 % des données à reprendre).

Cela permet d’identifier les principales anomalies, et de les corriger rapidement. Ce test doit avoir lieu au moins 1 à 2 mois avant la reprise complète des données. La date du test est déterminée en fonction du volume des données, ainsi que du délai prévisionnel de correction des anomalies rencontrées.

Ensuite, en fonction de l’importance de ces dernières, un second test peut être programmé.

Ces tests permettent notamment :

  • de s’assurer que la reprise des données se déroulera dans les meilleures conditions,
  • de prévoir précisément la durée de la reprise des données.

Dans le cas où des statistiques sont générées dans le logiciel source, il s’agit de procéder aux éditions correspondantes, puis de contrôler dans le logiciel de destination que les données restituées au sein des nouveaux états sont identiques.

Réussir l’analyse d’implémentation d’un progiciel

L’analyse relative à l’implémentation d’un logiciel de gestion constitue l’étape la plus importante au sein de ce type de projet. En effet, elle décrit précisément la façon dont l’application sera paramétrée afin de répondre aux besoins fonctionnels de l’entreprise.

De manière générale, les fonctions du logiciel existant doivent être reprises pour la plupart au sein du nouveau logiciel. Afin de s’assurer que cela est effectivement le cas, il convient donc en premier lieu d’obtenir une bonne compréhension du mode de fonctionnement du logiciel existant.

Ensuite, une check-list des sujets à aborder lors de l’analyse doit être préparée par avance. Elle doit inclure l’ensemble des fonctionnalités en vigueur dans le logiciel existant, ainsi que les fonctions incluses dans le nouveau logiciel.

Le rapport d’analyse

Cette analyse est formalisée au sein d’un rapport, qui doit être soumis à l’entreprise pour validation. Cette validation est essentielle pour les raisons suivantes :

  • le rapport d’analyse constituera alors le document de référence, sur lequel chacun des intervenants du projet s’appuiera,
  • ce rapport permettra de disposer d’une ligne directrice claire valable pour la suite du projet,
  • il permettra de définir précisément le planning d’intervention et les charges imputables à chaque acteur du projet.

Le rapport d’analyse nécessite un cadre précis, afin de s’assurer que tous les sujets ont bien été évoqués. En effet, un des écueils les plus classiques dans un projet est bien souvent l’ajout de fonctionnalités ou de flux de données, qui avaient été oubliées lors de la phase d’analyse.

Cela conduit inévitablement à des décalages en termes de planning, ainsi qu’à des charges supplémentaires non budgétées.

Le rapport d’analyse doit être découpé de manière claire, de façon à ce qu’il soit compréhensible et sans ambiguïté. Il est dans ce cadre préférable de disposer d’un modèle par type de logiciel. Par exemple, en ce qui concerne l’implémentation d’une application de gestion commerciale,  le découpage du document en ce qui concerne les fichiers de base peut être effectué de la façon suivante :

  • gestion des fichiers de base
  • gestion des articles,
  • gestion des clients,
  • gestion des fournisseurs,
  • gestion des tarifs de vente,
  • gestion des tarifs d’achat.

Intégration de progiciels

Un progiciel est un outil de travail au service des utilisateurs et de l’entreprise. Les principaux objectifs de la mise en place d’un progiciel sont les suivants :

  • optimisation de la productivité de vos utilisateurs,
  • pilotage de votre activité.

De manière générale, l’implémentation d’un progiciel ne se réduit pas à des phases d’installation et de formation. En effet, il s’agit d’un projet complet comprenant des étapes qu’il convient de respecter, afin d’en assurer la réussite.

Choisir et mettre en place un progiciel

Dans ce cadre, AMJ peut vous assister lors des différentes phases de la mise en place de vos progiciels, en se basant sur une méthodologie éprouvée :

En ce qui concerne le planning, AMJ prévoit aussi bien les charges des intervenants au sein du fournisseur du progiciel que celles de vos chefs de projet et utilisateurs, afin que le planning établi tienne compte des disponibilités de vos équipes.

Le planning doit également comporter des phases distinctes ainsi que des jalons, associés à des indicateurs d’alerte.

La définition du planning permet de maîtriser les étapes du projet, ainsi que les coûts et délais associés.

Par ailleurs, la validation des livrables par vos soins est capitale. Elle permet de s’assurer de la conformité face au projet initial et de s’adapter aux nouvelles contraintes. Cela conduit notamment à optimiser le coût du projet.

Schémas directeurs informatiques (SDI)

Votre outil informatique ne sera véritablement performant que s’il fonctionne en phase avec les options stratégiques de votre Direction Générale.

Le schéma directeur informatique a pour point de départ la stratégie d’une entreprise ou d’une direction pour aboutir à la définition d’une cible en matière d’informatique et de système d’information.

Les principales étapes d’un schéma directeur informatique consistent à prendre connaissance de la stratégie, effectuer un bilan de l’existant, exprimer les besoins, définir des priorités, élaborer des scénarios cibles et à définir un plan d’action pour atteindre la cible retenue.

Enfin, le schéma directeur informatique présente l’ensemble des règles générales selon lesquelles cette informatisation doit être conduite, et suivie.

La méthode utilisée par AMJ est dérivée de la méthode RACINES (Rationalisation des Choix InformatiquES) du ministère de l’industrie.

Définissons ensemble une cible en matière de système d’information et d’informatique :

  • Schémas directeurs de fonctionnement,
  • Schémas directeurs informatiques stratégiques,
  • Schémas directeurs informatiques opérationnels,
  • Schémas directeurs micro et bureautique, …

Outre le fait de permettre d’aligner le système d’information sur la stratégie de l’entreprise, il permet de définir toutes les actions à mener sur les 2 à 3 ans à venir.

Il se termine notamment par le descriptif de chacun des projets avec un planning de mise en œuvre très concret et directement opérationnel.

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